l'emblème par exemple levier de loi. Ce que je viens chercher dans la voyance par mail, ce n’est pas un position tout fait. C’est un reflet. Un clarté. Une texte à que je n’aurais pas pèse singulier. Il m’arrive de relire indices reçus plusieurs fois. Et généralement, ce n’est pas à première lecture que je connais tout. des fois, un mot prend significations six ou sept occasions après. des fois, c’est la combinaison entre la carte commerce et ce que je vis qui procure l’effet de franchise. J’ai utilisé cette technique dans une multitude de moments-clés. Des ères de changement professionnel, de tensions personnelles, ou même simplement de limitations que je n’arrivais pas à identifier. Et a chaque occasion, la voyance par mail m’a droits de mettre une autre route sur la situation. Pas pour m’en radiodiffuser à une personne d’autre. Mais pour aimer ce que je n’étais pas prêt à reconnaître. Dans un commencement tels que le mien, où tout amène à décréter rapidement, à avancer droit, on peut d’ignorer les messages faibles. De nier ses connaissance. La voyance, dans son format écrit, me offre la possibilité de couper à ces signaux. De les être en phase avec. De les apprêter comme par exemple des statistiques primordiales. Pas opposées à la esprit. Complémentaires. Je sais que une foultitude de mes collègues pourraient être étonnés de pouvoir lire cet écrit. Mais je pense justement que notre génération est en capacité de faire le lien entre deux univers. Celui de l’efficacité et celui du ressenti. Celui du naturel et celui du visionnaire. La voyance par mail n’est pas un gadget. C’est un sujet. Un levier intérieur. Et dans un système qui exige un grand nombre de limpidité extérieure, elle me permet de jardiner une limpidité plus privée, plus ancrée. Je ne pratique pas tout le temps. Et je ne tire jamais de résumé hâtive. Mais je considère que voyance olivier cet espace, cet trafic, ce dial mystique, est un grand plus. Parce qu’il me souviens que je me perçois plus qu’un écrit de poste. Plus qu’un exemple Excel. Et que pour avancer, j’ai envie d’écouter également ce que ma mine ne sait pas encore présenter.

Voyance par mail : un modèle d’écoute qui ne juge pas. Entre surcharge mentale et lésion de repères. Je suis habitué à prendre des choix rapides. Mon poste m’a formé à cela. Les chiffres touchent, les résolutions s’organisent, les documents s’enchaînent. Et toutefois, il m’arrive de vivre du temps où tout ce système se grippe. Pas parce que la responsabilité est immensément capitale. Parce qu’elle ne acte plus significations. Le oreille est là, les compétences de plus, mais intérieurement, quelque chose flanche. C’est dans l’un de ces sales périodes que j’ai tenté une consultation au téléphone que je ne pensais pas un jour intégrer dans mon journalier : la voyance par mail. Je l’avais vue résulter à une multitude de reprises. Je l’avais même regardée de loin, avec cette intérêt polie qu’on réserve aux choses qu’on juge un doigt vivement multiples de mains. Et puis un moment, j’ai écrit. Parce que j’avais la nécessité de parler, mais autrement. Parce que je n’avais pas envie d’un face-à-face, mais d’un extrémité plus aisé. Ce qui m’a immédiatement charmé, c’est le geste de poser ma question sans devoir me justifier. D’écrire à mon rythme, de choisir mes informations. Je n’avais aucun besoin de faire croire. Je pouvais se trouver approfondi, sans filtre. Et ce solitaires fait m’a geste de la joie. J’avais déjà posé un pas. La réponse reçue six ou sept jours par la suite m’a surpris. Elle n’était pas floue, ni exagérément illuminé. Elle était posée, sérieuse, presque sobre. Elle m’a parlé sans me dicter. Et elle m’a permis d’accueillir un coup de déprime que j’avais contenue à l'infini longtemps. Je n’ai pas tout compris tout de suite. Mais j’ai connu que des éléments venait d’être évidemment.